Samedi 23 Février 2019
La littérature scientifique sur la nutrition est très complexe et pleine de contradictions. Je suis très critique en matière d’experts et très reconnaissant d'avoir rencontré Gemma, il y a cinq ans, alors que je cherchais des réponses à propos de la cœliaquie. A présent, je m'intéresse à la nutrition en tant que question générale de santé et de style de vie. J'ai commencé par suivre un régime Paleo / GAPS pendant six mois, puis un régime essentiellement végétarien. Depuis cinq mois, je suis un régime hygiéniste à base uniquement de fruits crus, entiers et frais, avec une pause journalière intermittente. Des symptômes que j'avais, comme la mauvaise haleine et les hémorroïdes, ont complètement disparu pour la première fois depuis dix ans.
Gemma m'a aimablement conseillé durant ces cinq années. Elle m'a expliqué les différentes théories de façon simple afin que je puisse décider de la marche à suivre. Elle m'a aidé à les mettre en application, de la théorie aux conseils pratiques, avec des recettes et des menus hebdomadaires, ainsi que des cours de cuisine. Elle m'a également soutenu dans les décisions à prendre aux moments clés (chutes de tension, perte de poids exagérée), à devenir autodidacte et à écouter mon corps (par exemple, pour déterminer quels aliments me conviennent), et à devenir conscient de l'impact du sport, du stress, des émotions et du soleil sur ma santé. Évidemment, elle n'a pas les réponses à toutes les questions, mais le reconnaît sans problème quand c'est le cas.
Gemma est ouverte, critique, scientifique, et passionnée par la nutrition et la santé en général. J'apprécie particulièrement ses connaissances approfondies et actualisées sur la nutrition ainsi que son honnêteté (elle n'a jamais essayé de me vendre des produits). Nous organisons un rendez-vous en personne ou par vidéoconférence lorsque j'en ai besoin et elle réponde à mes courriels en moins de 24 heures. Je recommande le coaching de Gemma sans réserve!
Gemma m'a aimablement conseillé durant ces cinq années. Elle m'a expliqué les différentes théories de façon simple afin que je puisse décider de la marche à suivre. Elle m'a aidé à les mettre en application, de la théorie aux conseils pratiques, avec des recettes et des menus hebdomadaires, ainsi que des cours de cuisine. Elle m'a également soutenu dans les décisions à prendre aux moments clés (chutes de tension, perte de poids exagérée), à devenir autodidacte et à écouter mon corps (par exemple, pour déterminer quels aliments me conviennent), et à devenir conscient de l'impact du sport, du stress, des émotions et du soleil sur ma santé. Évidemment, elle n'a pas les réponses à toutes les questions, mais le reconnaît sans problème quand c'est le cas.
Gemma est ouverte, critique, scientifique, et passionnée par la nutrition et la santé en général. J'apprécie particulièrement ses connaissances approfondies et actualisées sur la nutrition ainsi que son honnêteté (elle n'a jamais essayé de me vendre des produits). Nous organisons un rendez-vous en personne ou par vidéoconférence lorsque j'en ai besoin et elle réponde à mes courriels en moins de 24 heures. Je recommande le coaching de Gemma sans réserve!
Lundi 28 Janvier 2019

Dans cette article on expose les principales causes du mal de tête.
On peut souligner comme causes les plus habituelles du mal de tête les agents suivants:
* Tabac, viande ou poisson fumé:
L’ingestion de produits fumés ou avaler la fumé du tabac peut aboutir au mal de tête.
Ces produits contiennent une substance nuisible appelé HAP (Hydrocarbures Aromatiques Polycycliques), générés par des processus de combustion incomplète de la matière organique à haute temperature (Wikipedia).
En plus des fumés, les aliments qui sont cuits à hautes températures, surtout les aliments frits, au four, et les barbacues, contiennent une quantité supérieur d'HAP que les aliments cuits à l’eau ou à basses températures.
Les HAP sont cancérigènes (ver Wikipedia), et même si à de faibles doses n’est pas dangereux pour la plupart de personnes, en quantités plus importantes, comme celles des produits fumés et le tabac, l’effet commence à être remarquable avec des maux de tête; et à doses plus élevés le risque de cancer est considérable.
* Boissons alcooliques et alcool endogène
C’est connu que boire des boissons alcooliques en quantités que la personne n’est pas habitué donne la gueule de bois lendemain.
Mais notre corps peut souffrir les conséquences de l’alcool sans jamais avoir vu une seule goute, si sa flore intestinal est dysbiotique, comme par example, au cas d’une candidose intestinal ou s’il y a une croissance démesurée d’une levure ou moisissure dans l’intestin.
Vous trouverez plus d’information sur ce sujet dans cette article
Dans ce cas, il faudra chercher quelles sont les causes de cette dysbiose: une intolérance alimentaire, un excès d’aliments, estrés, etc.
* Addiction au café
Les personnes qui prennent du café tous les jours expérimentent la migraine quand elles n’ont pas sa dose quotidienne.
Le café est comme une drogue, qui entraîne une dépendance, et quand on arrête sa consommation apparaît le syndrome de sevrage, caractérisé principalement par le mal de tête.
Pour abandoner cette addiction est nécessaire réduire la dose de café progressivement, lentement, jusqu’à l’arrêter complètement.
* Intolérance à l’histamine
Les personnes avec une intolérance à l’histamine souffrent mal de tête quand consomment une quantité d’histamine dans les aliments supérieur à sa tolérance.
Les aliments plus élevés en histamine sont les aliments fermentés, comme les produits laitiers, le vin, le vinaigre, les produits dérivés du soja et les légumes fermentés (choucroute, cornichons, etc.). Aussi sont riches en histamine toutes les viandes et poisson transformées, comme la charcuterie et le poisson en boîte; et les fruits de mer. Autres aliments avec un taux d’histamine considérable sont le chocolat, le café, la levure de boulanger, les noix, quelques fruits et tout type d’aliment que ne soit pas fraîchement préparé.
Il y a aussi des aliments qui ne contiennent que très peu d’histamine mais qui sont libérateurs d’histamine endogène, comme quelques fruits, épices, le jaune d’oeuf et les additives.
Pour en savoir davantage sur l’intolérance à l’histamine vous pouvez consulter cette article.
* Intolérances alimentaires
La consommation d’aliments aux lesquels on a une intolérance, comme le gluten, les oeufs, les produits laitiers, les noix, etc., déclenche une réponse immunitaire qui produit une inflammation. L’inflammation est manifeste, en général, par une rougeur, douleur, gonflement et chaleur. La partie du corps la plus touché par l’inflammation dépendra de chaque personne. Si le point faible de la personne est la tête, le mal de tête sera souvent présent.
* Syndrome prémenstruel (SPM)
Quelques femmes soufrent migraines avant le cycle, douleur qui peut commencer jusqu’à 15 jours avant la menstruation, à cause des changements hormonaux.
Mais le SPM ne devrait pas être considéré comme “normal” chez toutes les femmes. En améliorant l’alimentation et différents aspects du style de vie, le SPM peut diminuer, voir disparaître.
* Sensibilité électromagnétique et sensibilité chimique multiple (SCM)
Les personnes avec sensibilité électromagnétique peuvent commencer une céphalée ou une migraine quand il y a une charge importante d’ondes électromagnétiques (WIFI, téléphone mobile, etc.); et les personnes avec SCM ont le même problème quand elles sont exposés à tout type de substance chimique (lessives, perfumes, fumé, pesticides, peinture, etc.)
Cette sensibilité peut être diminué considérablement jusqu’à arriver à une sensibilité très faible, grâce à la nutrition et l’style de vie.
J’explique mon témoignage comme atteint au SCM dans le passé ici.
* Déshydratation
La manque de l’eau dans notre organisme diminue le flux sanguin dans le cerveau, ce qui peut amener a l’apparition du mal de tête.
Pour identifier si une personne est déshydraté, ils existent différents symptômes associés, en plus du mal de tête: langue et peau sèche, fatigue, besoin d’uriner moins frequent et moins quantité; étourdissement, et même il peut arriver de la tachycardie, des vertiges, la fièvre, etc.
Evidemment, il faut boire plus de l’eau pendant la journée en cas de déshydratation; o bien, manger des aliments riches en eau, comme les fruits et légumes.
* Autres: manque de sommeil, températures extrêmes, bruits stridents, problèmes émotionnels, etc.
* Tabac, viande ou poisson fumé:
L’ingestion de produits fumés ou avaler la fumé du tabac peut aboutir au mal de tête.
Ces produits contiennent une substance nuisible appelé HAP (Hydrocarbures Aromatiques Polycycliques), générés par des processus de combustion incomplète de la matière organique à haute temperature (Wikipedia).
En plus des fumés, les aliments qui sont cuits à hautes températures, surtout les aliments frits, au four, et les barbacues, contiennent une quantité supérieur d'HAP que les aliments cuits à l’eau ou à basses températures.
Les HAP sont cancérigènes (ver Wikipedia), et même si à de faibles doses n’est pas dangereux pour la plupart de personnes, en quantités plus importantes, comme celles des produits fumés et le tabac, l’effet commence à être remarquable avec des maux de tête; et à doses plus élevés le risque de cancer est considérable.
* Boissons alcooliques et alcool endogène
C’est connu que boire des boissons alcooliques en quantités que la personne n’est pas habitué donne la gueule de bois lendemain.
Mais notre corps peut souffrir les conséquences de l’alcool sans jamais avoir vu une seule goute, si sa flore intestinal est dysbiotique, comme par example, au cas d’une candidose intestinal ou s’il y a une croissance démesurée d’une levure ou moisissure dans l’intestin.
Vous trouverez plus d’information sur ce sujet dans cette article
Dans ce cas, il faudra chercher quelles sont les causes de cette dysbiose: une intolérance alimentaire, un excès d’aliments, estrés, etc.
* Addiction au café
Les personnes qui prennent du café tous les jours expérimentent la migraine quand elles n’ont pas sa dose quotidienne.
Le café est comme une drogue, qui entraîne une dépendance, et quand on arrête sa consommation apparaît le syndrome de sevrage, caractérisé principalement par le mal de tête.
Pour abandoner cette addiction est nécessaire réduire la dose de café progressivement, lentement, jusqu’à l’arrêter complètement.
* Intolérance à l’histamine
Les personnes avec une intolérance à l’histamine souffrent mal de tête quand consomment une quantité d’histamine dans les aliments supérieur à sa tolérance.
Les aliments plus élevés en histamine sont les aliments fermentés, comme les produits laitiers, le vin, le vinaigre, les produits dérivés du soja et les légumes fermentés (choucroute, cornichons, etc.). Aussi sont riches en histamine toutes les viandes et poisson transformées, comme la charcuterie et le poisson en boîte; et les fruits de mer. Autres aliments avec un taux d’histamine considérable sont le chocolat, le café, la levure de boulanger, les noix, quelques fruits et tout type d’aliment que ne soit pas fraîchement préparé.
Il y a aussi des aliments qui ne contiennent que très peu d’histamine mais qui sont libérateurs d’histamine endogène, comme quelques fruits, épices, le jaune d’oeuf et les additives.
Pour en savoir davantage sur l’intolérance à l’histamine vous pouvez consulter cette article.
* Intolérances alimentaires
La consommation d’aliments aux lesquels on a une intolérance, comme le gluten, les oeufs, les produits laitiers, les noix, etc., déclenche une réponse immunitaire qui produit une inflammation. L’inflammation est manifeste, en général, par une rougeur, douleur, gonflement et chaleur. La partie du corps la plus touché par l’inflammation dépendra de chaque personne. Si le point faible de la personne est la tête, le mal de tête sera souvent présent.
* Syndrome prémenstruel (SPM)
Quelques femmes soufrent migraines avant le cycle, douleur qui peut commencer jusqu’à 15 jours avant la menstruation, à cause des changements hormonaux.
Mais le SPM ne devrait pas être considéré comme “normal” chez toutes les femmes. En améliorant l’alimentation et différents aspects du style de vie, le SPM peut diminuer, voir disparaître.
* Sensibilité électromagnétique et sensibilité chimique multiple (SCM)
Les personnes avec sensibilité électromagnétique peuvent commencer une céphalée ou une migraine quand il y a une charge importante d’ondes électromagnétiques (WIFI, téléphone mobile, etc.); et les personnes avec SCM ont le même problème quand elles sont exposés à tout type de substance chimique (lessives, perfumes, fumé, pesticides, peinture, etc.)
Cette sensibilité peut être diminué considérablement jusqu’à arriver à une sensibilité très faible, grâce à la nutrition et l’style de vie.
J’explique mon témoignage comme atteint au SCM dans le passé ici.
* Déshydratation
La manque de l’eau dans notre organisme diminue le flux sanguin dans le cerveau, ce qui peut amener a l’apparition du mal de tête.
Pour identifier si une personne est déshydraté, ils existent différents symptômes associés, en plus du mal de tête: langue et peau sèche, fatigue, besoin d’uriner moins frequent et moins quantité; étourdissement, et même il peut arriver de la tachycardie, des vertiges, la fièvre, etc.
Evidemment, il faut boire plus de l’eau pendant la journée en cas de déshydratation; o bien, manger des aliments riches en eau, comme les fruits et légumes.
* Autres: manque de sommeil, températures extrêmes, bruits stridents, problèmes émotionnels, etc.
Dimanche 16 Septembre 2018

On considère que ces personnes soufrent une maladie, car ils ne tolèrent pas des aliments qui sont considérés sains. L’organisme de ces personnes refusent quelques aliments parce que ils sont considérés nuisibles.
Selon l’approche de l’Hygiène Naturelle notre organisme est très sache, et toujours développe les réponses plus adéquates pour la survie. Alors, pourquoi ce type de réactions démesurés sont produites?
Une possible réponse à cette question est que ces aliments aux lesquels on a des intolérances et/ou allergies ne sont pas si saines. Dans ce cas là, pourquoi seulement quelques personnes rejettent ces aliments, et pas toutes?
Quand on avale un produit nuisible pour l’organisme, ceci commence un procès d’élimination qui a deux stages. Le premier a comme but de neutraliser les substances nocives; et le deuxième s’agit d’utiliser les voies destinés a l’élimination pour l’excretion, à travers de l’urine, les selles, l’aire exhalé et la transpiration. Mais, comment faire ce procès si les voies sont surchargés, à cause, par example, d’un excès dans la quantité d’aliments?
La façon que l’organisme essaie de trouver une solution à ce problème pour se débarrasser des substances préjudiciables depend de différents facteurs: la génétique de l’individu, la quantité d’aliments avalés, l’énergie ou état de santé générale de la personne, l’histoire personnelle vers l’aliment, etc.
Selon ces facteurs, existent principalement deux façons de réagir face à des aliments inadéquats: utiliser des voies extraordinaires d’élimination ou stocker dans un endroit où les dégâts sont minimisés.
La voie extraordinaire d’élimination par excellence pour aider à la tache d’élimination est le système immunitaire. Le système immunitaire nettoie notre organisme de substances qui ont réussi à pénétrer dans le flux sanguin, à cause de voies d’élimination normales surchargés ou avec une fonctionnalité diminué. Ceci peut arriver à cause, par example, du syndrome de l’intestin poreux; au foie surchargé à cause de la grande quantité de toxiques et toxines; à une situation d’stress, dépression ou un problème émotionnelle qui diminue l’énergie de nos organes; à la manque de sommeil, o de repos; etc.
L’action du système immunitaire a comme effet une inflammation, et par conséquent, la douleur, rougeur, gonflement et chaleur. Ceci sont les symptômes habituelles des allergies respiratoires et dermatologiques, comme par example la rhinite, l’asthme, l’eczéma, et l’oedème de quincke; mais aussi des maladies communes comme le rhume, la grippe, l’otite, la bronchite, etc.
Mais si l’élimination doit se produire de façon urgente, à cause de la dangerosité de ces produits, l’organisme va réagir avec vomissements et diarrhées.
Dans le cas que l’organisme choisi par emmagasiner les substances indésirables, nous sommes face à la prise de poids. L’avantage qui jouissent ces personnes est qu’elles ne souffrent pas les maladies d’élimination, mais le transport de ces substances jusqu’au lieu d’stockage n’est pas sans coûte: ils apparaissent les maladies cardiovasculaires. Puis, ces substances peuvent finalement salir le milieu cellulaire, et endommager des tissues et organes du corps, en générant des ulcères, kystes et jusqu’au cancer.
Les enfants autistes, par example, il semblerait que la cause est un système de détoxification déficient, ce qui implique une accumulation de métaux lourds dans le cerveau. C’est à dire, ils n’arrivent pas à débarrasser son corps du mercure, et ceci est attiré par les graisses, donc le mercure reste emmagasiné dans les graisses du cerveau, qui est composé par un 60% de graisses.
La plupart des personnes sont une mélange des deux types (élimination et stockage), de façon que selon l’état énergétique et l’aliment qu’ils ont mangé, ils développent des maladies inflammatoires d’élimination, qu'ils soient aiguës ou chroniques; et dans d’autres circonstances ils tendent à l’stockage.
Pour répondre à la question du titre (“Les intolérances alimentaires, touchent-elles seulement à quelques personnes?”): toutes les personnes ont quelque type d’intolérance et/ou allergie. Ce qui est différent est la façon donc ceci est manifesté: avec des maladies gastro-intestinaux, ou dermatologiques, ou respiratoires, ou cardiovasculaires, ou inflammatoires, ou neurologiques, etc.
En médecine, on considère que les personnes qui ne réagissent pas avec l’élimination, c’est à dire, avec des allergies et/ou intolérances, tolèrent bien les aliments. Simplement, à cause du surpoids, ils sont conseillés de manger moins quantité et faire plus d’exercise physique. Mais le problème est beaucoup plus complexe, et il doit s’aborder de la même façon que une personne avec des intolérances et/ou allergies; c’est beaucoup plus complexe que réduire la quantité de nourriture et faire plus d’exercise.
Si face a certains aliments, l’organisme de toutes les personnes soit il s’efforce de les éliminer, soit il essaie de les stocker où ils dérangent le moins possible, peut être ne serait pas possible que ces aliments ne sont pas si saines qu’on pense? À la place de reprocher notre organisme pour refuser certains aliments, il faudrait réfléchir si peut être le problème se trouve dans les aliments, et au circonstances qui affectent sa digestion; c’est à dire, à toute notre style de vie, dès l’exercise physique à notre vie émotionnelle et spirituelle.
La façon que l’organisme essaie de trouver une solution à ce problème pour se débarrasser des substances préjudiciables depend de différents facteurs: la génétique de l’individu, la quantité d’aliments avalés, l’énergie ou état de santé générale de la personne, l’histoire personnelle vers l’aliment, etc.
Selon ces facteurs, existent principalement deux façons de réagir face à des aliments inadéquats: utiliser des voies extraordinaires d’élimination ou stocker dans un endroit où les dégâts sont minimisés.
La voie extraordinaire d’élimination par excellence pour aider à la tache d’élimination est le système immunitaire. Le système immunitaire nettoie notre organisme de substances qui ont réussi à pénétrer dans le flux sanguin, à cause de voies d’élimination normales surchargés ou avec une fonctionnalité diminué. Ceci peut arriver à cause, par example, du syndrome de l’intestin poreux; au foie surchargé à cause de la grande quantité de toxiques et toxines; à une situation d’stress, dépression ou un problème émotionnelle qui diminue l’énergie de nos organes; à la manque de sommeil, o de repos; etc.
L’action du système immunitaire a comme effet une inflammation, et par conséquent, la douleur, rougeur, gonflement et chaleur. Ceci sont les symptômes habituelles des allergies respiratoires et dermatologiques, comme par example la rhinite, l’asthme, l’eczéma, et l’oedème de quincke; mais aussi des maladies communes comme le rhume, la grippe, l’otite, la bronchite, etc.
Mais si l’élimination doit se produire de façon urgente, à cause de la dangerosité de ces produits, l’organisme va réagir avec vomissements et diarrhées.
Dans le cas que l’organisme choisi par emmagasiner les substances indésirables, nous sommes face à la prise de poids. L’avantage qui jouissent ces personnes est qu’elles ne souffrent pas les maladies d’élimination, mais le transport de ces substances jusqu’au lieu d’stockage n’est pas sans coûte: ils apparaissent les maladies cardiovasculaires. Puis, ces substances peuvent finalement salir le milieu cellulaire, et endommager des tissues et organes du corps, en générant des ulcères, kystes et jusqu’au cancer.
Les enfants autistes, par example, il semblerait que la cause est un système de détoxification déficient, ce qui implique une accumulation de métaux lourds dans le cerveau. C’est à dire, ils n’arrivent pas à débarrasser son corps du mercure, et ceci est attiré par les graisses, donc le mercure reste emmagasiné dans les graisses du cerveau, qui est composé par un 60% de graisses.
La plupart des personnes sont une mélange des deux types (élimination et stockage), de façon que selon l’état énergétique et l’aliment qu’ils ont mangé, ils développent des maladies inflammatoires d’élimination, qu'ils soient aiguës ou chroniques; et dans d’autres circonstances ils tendent à l’stockage.
Pour répondre à la question du titre (“Les intolérances alimentaires, touchent-elles seulement à quelques personnes?”): toutes les personnes ont quelque type d’intolérance et/ou allergie. Ce qui est différent est la façon donc ceci est manifesté: avec des maladies gastro-intestinaux, ou dermatologiques, ou respiratoires, ou cardiovasculaires, ou inflammatoires, ou neurologiques, etc.
En médecine, on considère que les personnes qui ne réagissent pas avec l’élimination, c’est à dire, avec des allergies et/ou intolérances, tolèrent bien les aliments. Simplement, à cause du surpoids, ils sont conseillés de manger moins quantité et faire plus d’exercise physique. Mais le problème est beaucoup plus complexe, et il doit s’aborder de la même façon que une personne avec des intolérances et/ou allergies; c’est beaucoup plus complexe que réduire la quantité de nourriture et faire plus d’exercise.
Si face a certains aliments, l’organisme de toutes les personnes soit il s’efforce de les éliminer, soit il essaie de les stocker où ils dérangent le moins possible, peut être ne serait pas possible que ces aliments ne sont pas si saines qu’on pense? À la place de reprocher notre organisme pour refuser certains aliments, il faudrait réfléchir si peut être le problème se trouve dans les aliments, et au circonstances qui affectent sa digestion; c’est à dire, à toute notre style de vie, dès l’exercise physique à notre vie émotionnelle et spirituelle.
Dimanche 19 Novembre 2017

Quand il fait froid nous avons envie de plats chauds: soupes, potages, ragoûts, légumineuses, et châtaignes; fondue, raclette et croûte dans les villages de montagne. Mais, quels sont les meilleurs plats pour se nourrir en hiver?
Les traditions sont très sages, et les plats traditionnelles sont habituellement adéquats au conditions climatiques de chaque pays. Mais de fois, il y a des autres circonstances qui déterminent les aliments traditionnels, par exemple, la pénurie de nourriture en hiver. Ceci est le cas de l’origine du rösti, fondue et raclette. Ces plats était inventés pour profiter les restes de pain sèche et du fromage, en le faisant fondre et le ramollissant avec du vin. En fait, il s’agissait de la nourriture habituel dans les classes plus modestes, et actuellement il est devenu un luxe!
L’alcohol contenu dans la fondue et la croûte a un effet de réchauffement corporel. En général, les plats chauds produisent une sensation de réchauffement interne immédiat très réconfortant, mais très fugace. Après quelques heures, l’effet de échauffement o refroidissement corporal ne depend pas de la température inicial de la nourriture, mais du type d’aliment.
En générale, les aliments qui sont très riches en protéines, comme la viande, poisson, oeufs et produits laitiers (surtout le fromage), produisent une stimulation de la circulation sanguine pour éliminer du corps les résidus métaboliques issues de sa digestion, par exemple l’acide urique et l’urée. L’alcohol a aussi un effet stimulative à cause de l’élimination de l’ethanol et acetaldehyde. (1) Cette activation du torrent sanguin produit une sensation de réchauffement dans l’organisme.
Quand la digestion des aliments commence, on ressent une sensation d’hébétude, qui peut être plus ou moins importante selon les personnes et selon les aliments ingérés. C’est pour cette raison que en Espagne on fait la sieste après le repas de midi. Cette phénomène est produit parce que le sang et l’énergie de l’organisme est concentré dans l’appareil digestive, en diminuant la circulation sanguine du cerveau et muscles. Alors pendant l’hiver, pour éviter un peu le froid, il est conseillé d’attendre la rentrée chez soi pour faire le repas principal de la journée.
Les aliments riches en hydrates de carbone complexes ou amidons, comme les céréales et les légumineuses, sont connus pour fournir de l’énergie doucement. Mais plusieurs études montrent que l’effet à long terme, une fois digérés et absorbés, est de déranger la circulation sanguine, à cause du phénomène appelé glycation des protéines sanguines (2). Par conséquent, les aliments riches en amidons ne sont pas adéquats pour l’hiver. Malgré que les plats de légumineuses, châtaignes et rösti soient très appréciés en hiver, n’aide pas de tout à se réchauffer, mais tout le contraire.
Les fruits et légumes donnent une première sensation de froid, mais à longue terme sont neutres par rapport à la réaction dans le corps; ni stimulent ni ralentissent la circulation sanguine. Ce sont les aliments idéales pour notre santé. Une soupe de légumes ou un potage peuvent être l’un des meilleurs plats d’hiver, puisque ils réconfortent au moment de l’ingestion, et aussi, ils exercent un bon effet sur la santé au long terme. Concernant les fruits, même si l’idéal est de les manger tel quel de façon naturel, on peut aussi faire quelques plats chauds: pomme au four, compote, pudding au fruits, soupe au fruits, casserole de fruits, etc.
Par conséquent, c’est vrai que la plupart de plats typiques d’hiver aident à se réchauffer. Mais ce fait ne s’accompagne pas avec une amélioration de la santé en général.
Il faudrait considérer que l’homme est désignée pour habiter au clima tempéré ou chaud, comme la Méditerranée. L’extrême froid ne nous fait aucun bien… et vouloir régler cette problème avec l’ingestion d’aliments qui ne sont pas les plus adéquats pour notre organisme n’est pas la meilleure solution. Si n’habitons pas dans un pays tempéré, nous avons deux options: nous suivons une diète Méditerranée, riche en fruits et légumes, et nous soufrons le froid de l’hiver; ou bien, nous mangeons les plats typiques des pays froids et nous endommageons notre santé. La meilleure alternative est de prendre des plats chauds ou tièdes composés de fruits et légumes, qui réconfortent au moment ils sont mangés et ils sont saines au long terme.
Références:
(1) “The Life Science Health System”, T.C.Fry
(2) “Grain Brain”, David Perlmutter
L’alcohol contenu dans la fondue et la croûte a un effet de réchauffement corporel. En général, les plats chauds produisent une sensation de réchauffement interne immédiat très réconfortant, mais très fugace. Après quelques heures, l’effet de échauffement o refroidissement corporal ne depend pas de la température inicial de la nourriture, mais du type d’aliment.
En générale, les aliments qui sont très riches en protéines, comme la viande, poisson, oeufs et produits laitiers (surtout le fromage), produisent une stimulation de la circulation sanguine pour éliminer du corps les résidus métaboliques issues de sa digestion, par exemple l’acide urique et l’urée. L’alcohol a aussi un effet stimulative à cause de l’élimination de l’ethanol et acetaldehyde. (1) Cette activation du torrent sanguin produit une sensation de réchauffement dans l’organisme.
Quand la digestion des aliments commence, on ressent une sensation d’hébétude, qui peut être plus ou moins importante selon les personnes et selon les aliments ingérés. C’est pour cette raison que en Espagne on fait la sieste après le repas de midi. Cette phénomène est produit parce que le sang et l’énergie de l’organisme est concentré dans l’appareil digestive, en diminuant la circulation sanguine du cerveau et muscles. Alors pendant l’hiver, pour éviter un peu le froid, il est conseillé d’attendre la rentrée chez soi pour faire le repas principal de la journée.
Les aliments riches en hydrates de carbone complexes ou amidons, comme les céréales et les légumineuses, sont connus pour fournir de l’énergie doucement. Mais plusieurs études montrent que l’effet à long terme, une fois digérés et absorbés, est de déranger la circulation sanguine, à cause du phénomène appelé glycation des protéines sanguines (2). Par conséquent, les aliments riches en amidons ne sont pas adéquats pour l’hiver. Malgré que les plats de légumineuses, châtaignes et rösti soient très appréciés en hiver, n’aide pas de tout à se réchauffer, mais tout le contraire.
Les fruits et légumes donnent une première sensation de froid, mais à longue terme sont neutres par rapport à la réaction dans le corps; ni stimulent ni ralentissent la circulation sanguine. Ce sont les aliments idéales pour notre santé. Une soupe de légumes ou un potage peuvent être l’un des meilleurs plats d’hiver, puisque ils réconfortent au moment de l’ingestion, et aussi, ils exercent un bon effet sur la santé au long terme. Concernant les fruits, même si l’idéal est de les manger tel quel de façon naturel, on peut aussi faire quelques plats chauds: pomme au four, compote, pudding au fruits, soupe au fruits, casserole de fruits, etc.
Par conséquent, c’est vrai que la plupart de plats typiques d’hiver aident à se réchauffer. Mais ce fait ne s’accompagne pas avec une amélioration de la santé en général.
Il faudrait considérer que l’homme est désignée pour habiter au clima tempéré ou chaud, comme la Méditerranée. L’extrême froid ne nous fait aucun bien… et vouloir régler cette problème avec l’ingestion d’aliments qui ne sont pas les plus adéquats pour notre organisme n’est pas la meilleure solution. Si n’habitons pas dans un pays tempéré, nous avons deux options: nous suivons une diète Méditerranée, riche en fruits et légumes, et nous soufrons le froid de l’hiver; ou bien, nous mangeons les plats typiques des pays froids et nous endommageons notre santé. La meilleure alternative est de prendre des plats chauds ou tièdes composés de fruits et légumes, qui réconfortent au moment ils sont mangés et ils sont saines au long terme.
Références:
(1) “The Life Science Health System”, T.C.Fry
(2) “Grain Brain”, David Perlmutter
Dimanche 23 Avril 2017

Mais lorsqu’une personne ne consomme jamais d’alcool, comment est-il possible qu’elle manifeste ce type de comportements, caractéristiques d’une personne alcoolique ?
Réponse : à cause d’une mycose ou d’une candidose intestinale. Cet article traite de la candidose et du développement fongique : dépistage, causes, conséquences et traitements.
Candida est une levure capable de se développer dans différents parties du corps, comme par exemple la bouche, le vagin et l’intestin, lorsque les conditions sont favorables : abondance de nourriture sucrée, pH acide, chaleur et humidité.
La source de la mycose vaginale et buccale est l’intestin. Les levures se développent en premier lieu dans l’intestin, puis peuvent migrer vers différentes parties du corps. La candidose peut même se retrouver dans le sang.
La Candida se nourrit de glucides (graines ou céréales, légumes secs et pommes de terre) et de sucres (lactose et saccharose principalement) qui ne sont pas complètement digérés par l’organisme. Cela est dû à une intolérance à ces aliments, provoquée par une production insuffisante d’enzymes amylases dans la salive et le pancréas et/ou de maltase, lactase et sucrase dans l’intestin. Il peut aussi y avoir d’autres causes, comme une mauvaise combinaison des aliments, un excès de certains d’entre eux allant au-delà de la capacité de digestion enzymatique, ou encore toute situation qui perturbe la bonne digestion des glucides et des sucres (voir ici d’autres causes et, ici, les principes de la bonne combinaison des aliments).
La Candida n’est pas la seule levure capable de s’installer dans l’intestin. On trouve également les saccharomyces et aspergillus. Tous se nourrissent de glucides et de sucres. En digérant, ils produisent principalement du CO2, de l’ammoniac et de l’alcool, en plus de 80 résidus toxiques différents comme l’acide tartrique, l’arabinose, etc. C’est ce que l’on appelle la fermentation alcoolique, qui est aussi à la base de la production du vin et des boissons alcoolisées.
L’alcool le plus toxique produit par les levures, et qui touche le plus le cerveau, est l’acétaldéhyde. À lui seul, et sans tenir compte des autres substances toxiques produites par les levures, il est à l’origine d’une longue liste d’affections. En voici quelques-unes :
* Dérangements gastro-intestinaux : diarrhée, constipation, gaz, douleurs au ventre
* Dommage au foie, au pancréas, à l’estomac, à l’intestin, etc. ce qui dégrade la digestion globale et provoque une carence en tous types de nutriments
* Dommage au système nerveux central (cerveau) et périphérique (nerfs) et maladies qui s’ensuivent d’ordre mental, psychologique, neurologique, comportemental, du développement, neuropathies, névralgies, etc.
* Capacité réduite de détoxification d’autres substances toxiques provenant de l’extérieur ou du métabolisme interne
* Perturbations hormonales, syndrome prémenstruel
* Maladies auto-immunes
Il existe plusieurs traitements pharmacologiques disponibles avec une grande diversité d’antifongiques, comme le fluconazol, ou de produits naturels, comme l’extrait de pépins de pamplemousse, l’huile de noix de coco et de multiples autres herbes et huiles essentielles, l’ail, etc. Le produit dépend aussi de la zone du corps qui est touchée. Mais comme on l’a dit, la candidose trouve toujours sa source dans l’intestin, c’est donc bien cela elle qui doit être traité.
Ces médicaments, naturels ou chimiques, sont généralement assez efficaces à court terme. Mais la candidose réapparaît rapidement si la source du problème n’a pas été éliminée. Ici, il s’agit, comme on l’a expliqué, de la mauvaise digestion des glucides et des sucres qui peut elle-même provenir de diverses circonstances, comme on le voit dans cet autre article. Si on continue à donner à manger à ces microorganismes, ils vont continuer à se développer.
Quand on a identifié la cause de cette mauvaise digestion, il faudra agir pour trouver une solution. Si, par exemple, le problème est une situation de stress, il conviendra de trouver la façon de la gérer. Si le problème est une antibiothérapie, il faudra prendre des probiotiques. Si l’alimentation est inadaptée, il faudra changer de régime, etc.
Pour déceler si les problèmes de santé dont on soufre viennent d’une candidose ou d’un développement fongique, il est possible de réaliser différentes analyses cliniques : anticorps dans le sang, levures dans les selles et métabolites organiques fongiques dans les urines.
La source de la mycose vaginale et buccale est l’intestin. Les levures se développent en premier lieu dans l’intestin, puis peuvent migrer vers différentes parties du corps. La candidose peut même se retrouver dans le sang.
La Candida se nourrit de glucides (graines ou céréales, légumes secs et pommes de terre) et de sucres (lactose et saccharose principalement) qui ne sont pas complètement digérés par l’organisme. Cela est dû à une intolérance à ces aliments, provoquée par une production insuffisante d’enzymes amylases dans la salive et le pancréas et/ou de maltase, lactase et sucrase dans l’intestin. Il peut aussi y avoir d’autres causes, comme une mauvaise combinaison des aliments, un excès de certains d’entre eux allant au-delà de la capacité de digestion enzymatique, ou encore toute situation qui perturbe la bonne digestion des glucides et des sucres (voir ici d’autres causes et, ici, les principes de la bonne combinaison des aliments).
La Candida n’est pas la seule levure capable de s’installer dans l’intestin. On trouve également les saccharomyces et aspergillus. Tous se nourrissent de glucides et de sucres. En digérant, ils produisent principalement du CO2, de l’ammoniac et de l’alcool, en plus de 80 résidus toxiques différents comme l’acide tartrique, l’arabinose, etc. C’est ce que l’on appelle la fermentation alcoolique, qui est aussi à la base de la production du vin et des boissons alcoolisées.
L’alcool le plus toxique produit par les levures, et qui touche le plus le cerveau, est l’acétaldéhyde. À lui seul, et sans tenir compte des autres substances toxiques produites par les levures, il est à l’origine d’une longue liste d’affections. En voici quelques-unes :
* Dérangements gastro-intestinaux : diarrhée, constipation, gaz, douleurs au ventre
* Dommage au foie, au pancréas, à l’estomac, à l’intestin, etc. ce qui dégrade la digestion globale et provoque une carence en tous types de nutriments
* Dommage au système nerveux central (cerveau) et périphérique (nerfs) et maladies qui s’ensuivent d’ordre mental, psychologique, neurologique, comportemental, du développement, neuropathies, névralgies, etc.
* Capacité réduite de détoxification d’autres substances toxiques provenant de l’extérieur ou du métabolisme interne
* Perturbations hormonales, syndrome prémenstruel
* Maladies auto-immunes
Il existe plusieurs traitements pharmacologiques disponibles avec une grande diversité d’antifongiques, comme le fluconazol, ou de produits naturels, comme l’extrait de pépins de pamplemousse, l’huile de noix de coco et de multiples autres herbes et huiles essentielles, l’ail, etc. Le produit dépend aussi de la zone du corps qui est touchée. Mais comme on l’a dit, la candidose trouve toujours sa source dans l’intestin, c’est donc bien cela elle qui doit être traité.
Ces médicaments, naturels ou chimiques, sont généralement assez efficaces à court terme. Mais la candidose réapparaît rapidement si la source du problème n’a pas été éliminée. Ici, il s’agit, comme on l’a expliqué, de la mauvaise digestion des glucides et des sucres qui peut elle-même provenir de diverses circonstances, comme on le voit dans cet autre article. Si on continue à donner à manger à ces microorganismes, ils vont continuer à se développer.
Quand on a identifié la cause de cette mauvaise digestion, il faudra agir pour trouver une solution. Si, par exemple, le problème est une situation de stress, il conviendra de trouver la façon de la gérer. Si le problème est une antibiothérapie, il faudra prendre des probiotiques. Si l’alimentation est inadaptée, il faudra changer de régime, etc.
Pour déceler si les problèmes de santé dont on soufre viennent d’une candidose ou d’un développement fongique, il est possible de réaliser différentes analyses cliniques : anticorps dans le sang, levures dans les selles et métabolites organiques fongiques dans les urines.
